Dernières réponses | | c'est clair, si on cherche bien on devrait en trouver ! |
| | y'a a d'autre, je les mettrais dès que je reviens donc surement dimanche^^ |
| | Mdr J'ai fait ce que j'ai pu parce que c'est quand même loin d'être parfait x_x Mais moi ça me fait plaisir de traduire *_* Reste plus qu'à trouver d'autres interviews x) |
| | si tu veux tu peux être notre traductrice officielle lol |
| | ouaouh !! on a la classe ou on l'a pas! bin hitomi elle l'a !!!! |
| | merci |
| | MERCIMERCIMERCIMERCIMERCIMERCIMERCI |
| | Voilà enfin la traduction ! Je viens juste de finir de tout taper ^^ Je reprends les parties que vous avez déjà traduites et j'ajoute la suite (mais pardonnez ma traduction qui n'est malheureusement pas parfaite ^^' mais j'ai essayé de retranscrire au plus près ce que Ben voulait dire.
20 questions avec... Ben Whishaw Ben Whishaw, jouant actuellement Konstantin dans la production nationale de théâtre de Katie Mitchell de la mouette, parle de Bob Dylan, PJ Harvey, des rigueurs des répétitions, comment hamlett )à changé sa vie et pourquoi il est prêt à cesser d'être suicidaire. Dans sa brève carrière jusqu'ici, l'acteur Ben Whishaw a eu un grand impact chez les amateurs de théâtre pour avoir repris le rôle principal dans la production primée de Trevor Nunn "Hamlet" en 2004, pour lequel il a été nommé aux "Best Actor honours in the 2005 " (la suite j'arrive vraiment pas à traduire, mais c'est des noms de sites, magazines et récomprenses consacré au théatre) A la télévision, Whishaw est apparut dans : Box of Slice, Booze Cruise et Other People’s Children. Et dans les films Restraint of Beasts, Perfume: The Story of a Murderer, Stoned, Enduring Love, 77 Beds, Layer Cake, Ready When You Are Mr McGill, My Brother Tom, The Escort and The Trench. Il est actuelement dans la production de "The Seagull" de Katie Mitchell. Une nouvelle version par Martin Crimp avec Juliet stevenson qui joue sa mère, Arkadina, Mark Bazeley, Sandy McDade et Hattie Morahan. Né le 14 octobre dans le Hertfordshire. Vit maintenant dans Muswell Hill (Nord de Londres). "J'y ai emménagé il y a 6 mois". First big break Probably playing Hamlet. That was a big break (en gros c'est travail le plus long. il répond hamlet parce qu'il l'a joué de juin à septembre 05) Les grands moments de votre carrière Ce dont je suis le plus fier c’est la production de l’an dernier ‘Mercury Fur’, qui est ne pièce que peu de personnes sont allées voir parce que c’était une petite production. Les gens ont tendance à juger les choses se passant à « off-West End » un peu moins bonnes. Mais en réalité, pour moi ça a été une expérience vraiment importante, une pièce que j’ai trouvé bluffante de brillance et sur laquelle je me suis investi. Les préférées productions dans lesquelles vous avez travaillé ? Je n’en ai pas fait tellement en fait ! Mais elles ont toutes été géniales, je ne peu pas choisir, aucune n’a été plus agréable que l’autre. Hamlet a été manifestement un expérience majeure pour moi et c’était vraiment une période heureuse. Metteurs en scène préférés J’ai adoré chacun de ceux avec lesquels j’ai travaillé. Trevor Nunn est un metteur en scène merveilleux, chaleureux, et sincère et il a une étonnante perspicacité en ce qui concerne Shakespeare. Il inspire vraiment la confiance et la joie dans ce qu’il fait. Et j’ai toujours été un fan de Katie Mitchell. Dramaturges préférés Ce sont probablement les plus attendus : Shakespeare, Chekhov et Pinter. Et peut-être Philip Ridley, pour le plus contemporain, je trouve qu’il es vraiment excellent. Partenaires préférés J’ai adoré travailler avec un gars appelé Robert Boulter qui jouait dans la 3ème affiche du ‘Burn, Chatroom and Citizenship’ au National. Il jouait mon frère dans ‘Mercury Fur’. Travailler avec l’équipe de ‘The Seagull’ a été extraordinaire parce que nous formions vraiment un groupe uni. On nous a encouragé à travailler étroitement ensemble aussi nous avons vraiment créé des liens. Quels rôles voudriez-vous jouer à nouveau ? Y en a-t-il seulement que vous voudriez jouer ? Je ne pense pas que je voudrais encore jouer Hamlet. Non parce que je possède le personnage ou que j’en ai une interprétation parfaite mais je sens que je dois faire quelque chose de différent. Je n’ai pas beaucoup changé de registre. Je pense qu’après ça j’aimerais quelque chose qui ne soit pas un jeune homme torturé et suicidaire ; peut-être une comédie. Si vous n’étiez pas devenu acteur, qu’est-ce que vous auriez fait ? Je ne sais pas vraiment quand j’ai commencé à jouer, c’est une des choses que je fais depuis que je suis tout : jouer dans les spectacles de Noël, les troupes amateur ou le club de théâtre pour jeunes. Je pense que j’aurais voulu être un artiste si je n’étais pas devenu acteur. A un moment j’ai voulu être peintre et j’ai failli choisir cette voie. Je m’étais engagé dans la voie de l’Art mais j’ai abandonné et je suis rentré à la RADA. J’avais tenu 3 ou 4 semaines parce que je m’étais finalement mieux trouvé en allant voir des pièces plutôt qu’en faisant mes devoirs. Quel est la dernière production théâtrale qui a eu un gros impact sur vous ? Et la première ? La dernière qui m’a totalement absorbée ça a été « The Andersen Project », un spectacle de Robert Lepage sur Hans Christian Andersen au Barbican. Pour moi c’était stupéfiant. La première pièce que j’ai vu c’était une production ‘Complicite’ nommée ‘Out of a House Walked a Man’ au National il y a des années et des années. J’en garde encore un vif souvenir. On nous avait amené la voir avec mon club de théâtre. Je me souviens que ça a été la chose la plus étrange et étonnante que je n’ai jamais expérimentée. Je ne pense pas l’avoir réellement comprise ou même apprécié mais cette pièce m’a vraiment frappée. Recommanderiez-vous au gouvernement ou à l’industrie d’assurer le futur du théâtre anglais ? Je ne suis pas vraiment doué pour ces choses-là, je ne pense pas trop à ça. Si les gens veulent du théâtre, il faudra continuer et si des gens ressentent le besoin de faire du théâtre alors il faudra aussi continuer. Je trouve que c’est facile d’utiliser l’excuse du manque d’argent pour tout et n’importe quoi. J’ai lu un livre sur la Russie pendant la période soviétique, on voyait comment le théâtre peut être florissant même dans les plus mauvaises conditions. Plus important pour les gens que l’argent, c’est d pouvoir s’asseoir dans une salle et de pouvoir vraiment partager quelque chose. Si vous pouviez être quelqu’un d’autre (vivant ou mort) pendant une journée, qui voudriez-vous être ? J’ai une vraie obsession pour PJ Harvey, une rock-star que j’adore. J’ai chacun de ses albums et je suis allée à tous ses concerts. Je voudrais tout simplement être elle. Ce serait vraiment génial ! Je voudrais me lever, chanter et devenir elle. Ce serait vraiment excitant. Livres préférés Il y en a beaucoup que j’aime. Un de mes préférés c’est « L’idiot » de Dostoevsky et un autre, écrit par l’auteur de roman policier Patricia Highsmith, « Le cri du hibou » que j’affectionne particulièrement. Vos destinations préférées pour les vacances Je n’ai pas pris de vacances depuis 3 ans donc je n’ai pas vraiment de préférences. Je pense que j’aimerais peut-être aller sur un plage en Espagne, sur le littoral sud, si je devais partir maintenant. Rendez-vous préférés après une représentation Je suis la personne la plus ennuyeuse du monde donc j’ai tendance à rentrer directement chez moi. Je n’ai pas l’habitude de traîner dehors. En fait, après un spectacle les gens retournent généralement à leur vie. Pourquoi avez-vous accepté le rôle de Konstantin dans « The Seagull » ? D’abord je voulais travailler avec Katie Mitchell. J’admire son travail depuis que j’ai 16 ans. Je pense que j’ai vu tout ce qu’elle a fait. C’est quelqu’un avec qui j’ai toujours rêvé de travailler. Puis c’était aussi l’occasion de travailler sur une pièce de Chekhov. J’en ai fait un peu à l’école de théâtre mais pas beaucoup et c’est le plus étonnant des supports pour jouer. Konstantin est quelqu’un qui se sent mal-aimé et qui a vraiment très peu d’estime de soi et une mauvais image de lui. Il se décrit lui-même comme une personne insignifiante, sa mère lui dit qu’il est insignifiante et il finit par croire que c’est vrai. Comment êtes-vous parvenu à intégrer l’état d’esprit de Konstantin ? Nous avons fait beaucoup de recherches ensemble. Nous avons dû chacun rechercher l’époque particulière de l’histoire de Russie qui convenait à notre personnage. Donc j’ai étudié la littérature russe et ce qui l’en était pour les Arts à ce moment-là, pas seulement en Russie mais dans toute l’Europe. Et j’ai essayé de lire un peu de philosophie à laquelle Konstantin s‘intéresse aussi. Etes-vous un admirateur de Chekhov ? Je suis un de ses grands fans et j’aime énormément les spectacles de Katie a fait de son œuvre. Dans les pièces de Chekhov, ce que j’adore c’est le sentiment d’être pris au pige dans une salle où tu ne sais pas si tu dois rire ou pleurer et tu voudrais presque faire les deux en même temps. Sa façon d’écrire est si tourmentée, pleine de conflits et fragile que ça te touche immédiatement. C’est à la fois monstrueux mais il y a aussi beaucoup de tendresse dans la manière qu’il a de voir les gens, il y a beaucoup d’humanité. Cette adaptation de « The Seagull » est jugée de ‘simplifiée’. Pensez-vous que l’interprétation du la metteuse en scène Mitchell a profité à la pièce ? Le fait d’avoir bénéficié à la pièce ou non pourrait être discuté mais cela a obligé les spectateurs, qui avaient peut-être été imprégnés des Seagulls, à voir la pièce avec un regard nouveau. Je pense que le fait denlever la plupart des références au XIXème siècle a été probablement un plus. Pour être honnête il y a un moment où je ne prenais plus de plaisir à jouer. Je pense que la faon de procéder de Katie c’est de mener à bien son projet et ses comédiens et de faire en sorte qu’ils ne se satisfassent pas seulement de la critique de la presse. Son idée c’est qu’il faut vraiment travailler jusqu’à la dernière représentation. Quelle est la chose la plus drôle ou marquante qui se soit passée pendant une répétition ? Tout était sérieusement et étroitement dirigé par Katie. Bien-sûr on riait mais on travaillait dur. Attendre les critiques de la presse était des moments stressants. En fit on n’avait pas un moment de repos ! Quels sont tes projets maintenant ? Je tourne un film juste après ça. Je joue le rôle de Bob Dylan dans un film où il est interprété par six personnes différentes, dont Cate Blanchett et Richard Gere. Ca s’appelle ‘I’m Not Here’. La partie que je tourne devrait être bouclée en deux semaines et pour la suite on verra bien.
- Ben Whishaw, interviewé par Caroline Ansdell -
Message édité le 18-10-2006 à 23:34:41 par Hitomi |
| | J'pourrais pas rever mieux XD merci encore c'st gentil ^^ |
| | complètement merci |
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